samedi 29 octobre 2011
eLearning Africa 2012
eLearning Africa 2012
eLearning Africa est le plus important forum du continent réunissant de hauts responsables politiques, des décideurs et des spécialistes de l’éducation, des affaires et des pouvoirs publics. Il constitue un événement de réseautage majeur pour le développement des capacités eLearning en Afrique.
eLearning Africa 2012 se tiendra du 23 au 25 mai à Cotonou, au Bénin. Ce pays bénéficie d’un riche héritage culturel et compte également à son actif de formidables réalisations dans le domaine de l’éducation ces dix dernières années.
eLearning Africa 2012 aura lieu sous le patronage de son Excellence Monsieur Max Ahouêkê, Ministre de la Communication et des Technologies de l’Information et de la Communication, Bénin.
En se concentrant sur les liens entre eLearning et développement durable, eLearning Africa 2012 explorera de nouveaux moyens créatifs permettant à l’eLearning d’accompagner le développement et d’aider à la construction d’un avenir durable. Les principaux thèmes abordés lors d’eLA 2012 seront les suivants : Technologies et infrastructures durables ; L’eLearning pour les communautés durables ; La gestion durable du changement ; eLearning et ressources durables ; Économie, culture et société durables.
eLA représente un événement incontournable pour tous les acteurs qui sont engagés ou qui souhaitent en savoir plus sur les TIC appliquées au développement, à l’éducation et à la formation en Afrique. Il constitue l’un des principaux forums pour les professionnels de l’eLearning ainsi que de l’éducation et la formation basées sur les TIC. Les participants peuvent ainsi enrichir leurs contacts au niveau international et sectoriel, accroître leurs connaissances et renforcer leur expertise et leurs compétences.
La conférence se tiendra en anglais, en français et en portugais. Elle comporte des sessions plénières réunissant des experts de renommée internationale, des présentations et des sessions spéciales focus, des démonstrations pratiques, des discussions et des débats sur des sujets spécifiques, ainsi que différentes réunions informelles de prise de contact au cours desquelles les participants pourront échanger leurs expériences et leurs idées, faire part d’informations nouvelles et dresser des perspectives d’avenir.
La conférence s’accompagne d’un espace d’exposition et de démonstration, où les participants pourront présenter leurs dernières innovations en termes de produits et de services, et organiser des réunions avec les principaux décideurs du monde de l’éducation et de la formation en Afrique.
jeudi 27 octobre 2011
The Understanding Pathway: A Conversation with Howard Gardner
Howard Gardner reflects on how students who learn in many different ways might grapple with their deepest questions about life.
"When I first heard him describe his theory of multiple intelligences . . . I felt as if I had stumbled into a room in my own home that I had never noticed before." So writes Jane Healy about the impact that Howard Gardner's insights had on her thinking back in 1983 when he wrote Frames of Mind: The Theory of Multiple Intelligences.1
Feeling that same shock of recognition toward an idea that squares with their own teaching and learning experiences, many educators this past decade have implemented a version of MI theory in their own classrooms.
In Gardner's new book, The Disciplined Mind: What All Students Should Understand,2 he elaborates on applications of MI theory and on the importance of the disciplines, and he advocates schools where students delve into deep epistemological questions. He calls that approach to education "the understanding pathway." Here he talks with EL readers about what that classroom would be like.
What is the difference between a classroom that focuses on understanding—a constructivist classroom, if you agree with that use of the term—and a behaviorist classroom?
In a classroom that focuses on understanding, teachers are clear about the understandings that they value and the understandings that they want students to exhibit. In general, these understandings focus on important topics and reveal disciplinary ways of thinking.
In a class on American history, for example, a student who understands the Bill of Rights is able to show how specific amendments do, or do not, apply to controversial issues of the day or to those drawn from the past. In a class on biology, a student who understands the theory of evolution is able to discuss what might happen to an island if all wildlife were removed and if animals from a few species were then transported there. In carrying out such "performances of understanding," students show whether they can think historically or scientifically about concrete events or topics.
I am happy to use the term constructivist to apply to such a classroom. The crucial tension between "constructivism" and "behaviorism" has to do with the view of learning that is embraced. In a behaviorist class, one focuses on the answers desired and tries to shape responses until they resemble a prototype. What goes on inside the head, if anything, is irrelevant. In a constructivist classroom, students continually try out ideas and practices for themselves and see where they work and where they prove inadequate. The models that an individual constructs in his or her mind are crucial to understanding or nonunderstanding.
Some people use the word behaviorist to describe a regimen based on rewards and punishment. I'm not one of those individuals who avoids rewards or punishments in all cases; but grounding one's teaching in such "schedules of reinforcement" can't work in the long run. Students (and ex-students) must come to learn because they have a desire to learn, not because someone is giving them an A or an M&M.
In your new book, you introduce the idea of teaching the "essential concerns of human beings." In an age of standards and standardized testing, how would you suggest that teachers balance teaching about truth, beauty, and morality (unmeasurable concepts) with the increasing pressures to help students perform well on tests? Are the two movements incompatible?
I don't actually advocate teaching directly about truth, beauty, and morality; that sounds like a graduate philosophy course. I advocate teaching those disciplines—history, science, the arts, and literature—that will present to students their culture's image of what is true (and not true), beautiful (and not beautiful), ethical (and immoral). Education should prize students who act morally and give students a chance to produce as well as to appreciate natural and man-made beauty.
L’INTELLIGENCE INTUITIVE
« C’est avec la logique que nous prouvons et avec l’intuition que nous trouvons. » Henri Poincaré.
Le Petit Robert définit le terme intuition de la manière suivante : « idée claire ou confuse, action de deviner, pressentir, comprendre quelque chose d’emblée, sans parcourir les étapes de l’analyse, du raisonnement ou de la réflexion. »
L’intuition est l’une des formes de ce que l’on appelle l’intelligence intrapersonnelle (cf la théorie des intelligences multiples de Howard GARDNER, dans son livre « Frames of Mind : the Theory of Multiple Intelligence »). Ce type d’intelligence est fondé sur l’inconscient, les instincts, la bonne connaissance de soi. Elle relève plus du champ des analogies, des représentations, des perceptions et des images que de celui du langage. Par conséquent, écouter ses perceptions intuitives implique d’accepter d’être en contact avec son inconscient et donc d’être en accord avec soi-même : l’inconscient devient inaccessible, si l’on n’assume pas ce qui y est enfoui.
Auparavant méprisée et déniée au profit de l’intelligence rationnelle, l’intuition était associée à tort à une absence de réflexion et souvent considérée comme une forme d’extra lucidité.
Pourtant, l’intuition ne puise pas ses ressources dans des forces occultes : elle résulte de notre capacité à schématiser une profusion d’informations enregistrées dans notre inconscient et qui sont le fruit de nos expériences, réflexions, rencontres, lectures… Elle consiste à tirer profit de ces acquis en utilisant de façon instinctive un raisonnement par analogie. Tel un ordinateur interne, elle traite les données et élimine ce qui est accessoire. Ce balayage superficiel permet à l’individu de tirer instantanément les conclusions qui s’imposent.
Face à une décision, elle permet de percevoir si les différents choix possibles suscitent un sentiment de bien-être ou de malaise. L’intuition autorise la projection dans l’avenir et l’anticipation des événements car elle les assimile à des connaissances et des expériences vécues.
Cependant, en se confrontant aux opinions et aux points de vue des autres, l’individu peut confondre "intuition et raison". Il prend le risque de partir sur de fausses pistes. Il pourra donc s’interroger sur la manière de faire partager son intuition, de la transcrire, de convaincre son entourage pour la considérer comme une hypothèse de travail immédiate.
mercredi 26 octobre 2011
APERCU DE LA FORMATION A DISTANCE AU QUEBEC
aperçu de la formation
à distance au Québec
La formation à distance existe au Québec depuis 1946. initialement diffusée à l’aide
de cours par correspondance et par la radio, la formation à distance a véritablement
pris son envol dans les années 1970 avec la création de la télé-université (teLUQ).
Depuis 1995, les statistiques révèlent une augmentation constante des inscriptions.
Tous ordres confondus, celles-ci ont plus que doublé pour atteindre un total de
128 343 inscriptions en 2006-2007. au fil des ans, des centaines de milliers de
personnes y ont eu recours pour parfaire leur formation, compléter des études déjà
entamées, accéder à un meilleur diplôme, se spécialiser dans un domaine précis
ou, tout simplement, pour élargir leurs connaissances.
Au secondaire, une quarantaine de commissions scolaires offrent la formation
générale à distance aux élèves adultes. Treize d’entre elles offrent aussi la formation professionnelle à distance. depuis 1995, l’accroissement global des inscriptions au secondaire a été de 241%. au collégial, le cégep@distance compte environ 28 000 inscriptions chaque année et, depuis 1995, elles ont augmenté de 70%. à l’université, la très grande majorité des étudiants en formation à distance sont inscrits dans trois établissements : la teLUQ, l’Université Laval et l’Université de montréal.
mardi 25 octobre 2011
L'APPRENANT ISOLE
Il ne faut pas sous-estimer le rôle du milieu socio-culturel chez l’apprenant isolé au moment même où, d’une part, toutes les recherches ont montré son influence chez tous les apprenants scolarisés, et où, d’autre part, on ne cesse de découvrir l’influence des pairs et de la dimension sociale dans l’apprentissage (Vygotsky, 1930, 1985).
Et il faut bien reconnaître que les plannificateurs de systèmes de FAD consacrent plus de ressources et d’énergie à la mise au point des dispositifs et des stratégies d’enseignement qu’à l’examen des conditions psychosociologiques et culturelles susceptibles soit de faciliter ou d’inhiber l’apprentissage chez l’individu isolé.
C’est un souci qui émerge tout juste aussi dans la recherche, où on commence à développer des études d’inspiration ethnométhodologique sur le vécu et les représentations des apprenants, notamment par rapport aux modèles d’apprentissage.
Car la difficulté ne tient pas seulement à l’isolement physique, en partie compensable par les nouvelles technologies interactives, mais à des facteurs plus subtils et plus incidieux comme la relation de l’apprenant au mileu tant familial que professionnel – Dieuzeide (1985.)
vendredi 21 octobre 2011
ESPACE D'APPENTISSAGE , THE OPEN UNIVERSITY
Oui,
des cours universitaires gratuit, ca existe...Ou?.. A L'OPEN UNIVERSITY...En fait ils ont plus de 600 cours gratuits en ligne. N'est-ce pas interessant? D'ou mon questionnement! Qui decide qui sait quoi?
Quel est le prix du savoir? Et pourquoi un prix? Quoi qu'il en soit, si l'universite par miracle devenait gratuite, j'ai l'impression que ce serait une revolution...
mercredi 19 octobre 2011
LE RESEAU DES FEMMES PHILOSOPHES
Depuis une annee je suis membre du reseau des femmes philosophes de l'Unesco. Je suis egalement membre de l'association Canadienne de philosophie et oui, la philosophie fut mon premier amour lors de mes etudes collegiales.
Maintenant je publie des livres en anglais et en francais, principalement sur la "Formation a Distance".
Journée de la philosophie à l'UNESCO
la célébration de la Journée mondiale de la philosophie 2011 se tiendra
le jeudi 17 novembre 2011 au Siège de l’ UNESCO à Paris
Une variété de conférences autour de la philosophie et de la réflexion critique aura lieu à cette occasion, et plus précisément sur les thèmes suivantes: le partage équitable des bénéfices scientifiques, la pensée et l'œuvre des philosophes et leur rôle pour les changements dans le monde, les questions d’actualité survenues récemment dans le monde arabe et le rôle des femmes dans les transformations sociales, sur les nouvelles pratiques philosophiques et notamment la philosophie pour les enfants, etc.
A cela s’ajouteront une projection de film, des cafés philo, des expositions, un salon du livre philosophique, …
Tous les détails sur les événements de la Journée seront disponibles à partir du 17 octobre 2011.
Compétences requises au tutorat à distance
Le tuteur idéal allierait tout à la fois des compétences disciplinaires et technologiques adaptées au dispositif et d’autres compétences relatives aux relations humaines, à la communication, au suivi et à l’évaluation (Audet, 2009a).
Les compétences requises à la mission du tuteur à distance sont plus larges que celles nécessaires à un enseignant présentiel. Elles relèvent de diverses dimensions : Disciplinaires, pédagogiques, organisationnelles, relationnelles et techniques. A cela s’ajoutent l’individualisation du suivi en fonction des besoins d’aide des divers apprenants et la rétroaction à leurs travaux : tâches peu valorisées en présentiel, essentielles à distance pour agir sur la motivation et la persévérance des apprenants.
Certains rôles et compétences sont donc spécifiques au tuteur à distance, cette évolution des rôles et des compétences pousse le tuteur à distance vers davantage de polyvalence. Le futur tuteur à distance devra donc acquérir de nouvelles compétences pour exercer cette activité, il semble alors évident de concevoir des formations pour ces acteurs susceptibles de l’aider à développer les compétences suivantes :
- Autonomie
- Discipline
- Adaptabilité
- Ouverture d’esprit
- Débrouillardise
- CompétenceCompétences communicatives
- Compétences de relations humaines (Empathie, Respect, Capacité d’écoute et de
vulgarisation) (Audet, 2009b).
- Compétences pédagogiques
- Expertise disciplinaires
mardi 11 octobre 2011
DevLearn 2011 Conference and Expo
Take a thrilling journey through the next one hundred years of breathtaking scientific revolution and see how science will shape our daily lives by the year 2100. Based on interviews with over three hundred of the world’s top scientists, who are already inventing the future in their labs, Dr. Michio Kaku, cofounder of string field theory and the bestselling author of several widely acclaimed science books, presents the revolutionary developments in medicine, computers, quantum physics, and space travel that will forever change our way of life and alter the course of civilization itself.
Michio Kaku, will speak at the conference for learning technologies in Las Vegas november 2-4.
Michio Kaku Professor of Physics City University of New York
Dr. Michio Kaku is an internationally recognized authority in two areas. The first is Einstein’s unified field theory, which Dr. Kaku is attempting to complete. The other is to predict trends affecting business, commerce, and finance based on the latest research in science. Author numerous books, including Parallel Worlds, Physics of the Impossible, and his newest Physics of the Future, he is one of the most widely recognized figures in science in the world. Dr. Michio Kaku will speak at the DEVLEARN conference in Las Vegas november 2-4.
mardi 4 octobre 2011
L'histoire du Québec délaissée par les universités
Le Québec ne se souvient pas assez de son histoire, selon une étude publiée hier par la Fondation Lionel-Groulx et la Coalition pour l'histoire du Québec. «On est un des pays qui enseignent le moins leur histoire!», clame l'historien et porte-parole de la Coalition pour l'histoire du Québec, Robert Comeau.
Après avoir critiqué, l'an dernier, la qualité de l'enseignement de l'histoire au collégial et au secondaire, les deux organismes se sont maintenant penchés sur la place de l'histoire du Québec dans le milieu universitaire.
Selon M. Comeau et ses collègues, les futurs enseignants d'histoire manquent de formation. «La majorité n'ont que deux à quatre cours à l'université sur l'histoire du Québec. C'est insuffisant!», déclare M. Comeau. L'étude mentionne aussi que 28 % des enseignants d'histoire au secondaire n'ont pas de formation universitaire dans cette discipline. Les auteurs de l'étude réclament un minimum de vingt cours d'histoire, dont la moitié couvrirait le Québec et le Canada, pour tous les futurs enseignants de cette matière au secondaire. Quant à ceux qui l'enseigneront au niveau collégial, les auteurs exigent qu'ils aient tous une maîtrise spécialisée dans le domaine.
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