samedi 26 mai 2012
DEFINITION DE LA METACOGNITION
Flavell (1976) :
"La métacognition se rapporte à la connaissance qu´on a de ses propres processus cognitifs, de leurs produits et de tout ce qui touche, par exemple, les propriétés pertinentes pour l´apprentissage d´informations et de données... La métacognition se rapporte entre autres choses, à l´évaluation active, à la régulation et l´organisation de ces processus en fonction des objets cognitifs ou des données sur lesquelles ils portent, habituellement pour servir un but ou un objectif concret."
Gombert (1990) :
"La métacognition est un domaine qui regroupe : les connaissances introspectives et conscientes qu´un individu particulier a de ses propres états et processus cognitifs ; les capacités que cet individu a de délibérément contrôler et planifier ses propres processus cognitifs en vue de la réalisation d´un but ou d´un objectif déterminé."
Noël (1997) :
"La métacognition est un processus mental dont l´objet est soit une activité cognitive, soit un ensemble d´activités cognitives que le sujet vient d´effectuer ou est en train d´effectuer, soit un produit mental de ces activités cognitives. La métacognition peut aboutir à un jugement (habituellement non exprimé) sur la qualité des activités mentales en question ou de leur produit et éventuellement à une décision de modifier l´activité cognitive, son produit ou même la situation qui l´a suscitée."
lundi 14 mai 2012
Raconter sa vie, dans la réalité ou sur des réseaux sociaux sur internet, est aussi gratifiant pour le cerveau que le plaisir trouvé dans la nourriture ou le sexe, selon une étude menée par des chercheurs de Harvard publiée aux États-Unis.
Parler de soi génère dans le cerveau la sécrétion de dopamine, une substance chimique liée aux sensations de plaisir ou d'anticipation d'une récompense, souligne l'étude menée par deux neurologues et publiée le 7 mai dans les Actes de l'académie nationale des sciences américaine.
Selon ces chercheurs, hommes et femmes consacrent habituellement 30 à 40% de leur discours à «informer autrui de leurs propres expériences personnelles». Mais sur les réseaux sociaux, ce taux est plus proche de 80%, assurent-ils.
«Les gens se confient autant volontairement, parce que parler ainsi de soi est en soi un événement avec une valeur certaine, de la même manière que des activités qui génèrent une récompense immédiate, comme faire l'amour ou manger», poursuivent ces chercheurs.
Pour mener leur étude, les chercheurs offraient une petite somme d'argent à des cobayes pour qu'ils répondent à des questions factuelles ou une somme moins importante encore pour qu'ils donnent leur propre avis sur un sujet donné. Dans bien des cas, les sujets testés préféraient renoncer à la récompense la plus importante pour avoir le plaisir de parler d'eux et de donner leur avis.
samedi 12 mai 2012
DOCTORAT EN PSYCHOLOGIE POSITIVE
Ca y est, je debute un doctorat en psychologie positive!
Le monde de la psychologie et de la psychothérapie est peut-être en train d’amorcer une évolution radicale : le passage d’une forte focalisation sur la pathologie vers la prise en compte des aptitudes et de l’accomplissement personnel et collectif. Il est de plus en plus question aujourd’hui de psychologie positive.
La psychologie positive est « l’étude des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des individus, des groupes et des institutions ».
Selon Martin Seligman, professeur de psychologie à l’université de Pennsylvanie et principal initiateur de la psychologie positive, « nous connaissons peu ce qui donne de la valeur à la vie. (…) Ceci vient de ce que, depuis la Seconde Guerre mondiale, la psychologie est devenue en grande partie une science de la guérison. Elle se concentre sur la réparation des dommages au sein d’un modèle du fonctionnement humain axé sur la maladie. Cette attention presque exclusive sur la pathologie néglige l’individu épanoui et la communauté prospère ». Cet auteur reconnaît certes les victoires thérapeutiques de la psychologie, mais estime que celles-ci ont été obtenues au détriment d’autres considérations tout aussi essentielles : « Quand nous sommes devenus seulement une profession de guérison, nous avons oublié notre mission plus large : celle d’améliorer la vie de tous les gens »
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S’intéresser à la psychologie positive ne consiste pas à se percevoir ou à observer le monde qui nous entoure d’une manière idéalisée, comme au travers de lunettes roses. Il ne s’agit pas non plus de mettre de côté les connaissances acquises sur la souffrance psychique et sur les moyens d’y remédier. Le courant de la psychologie positive considère simplement qu’à côté des problèmes individuels et collectifs s’exprime toute une vie riche de sens et de potentialités. Elle est donc un complément logique aux recherches sur la psychologie clinique et la psychopathologie.
mercredi 9 mai 2012
LORE, RESEAU SOCIAL POUR L'EDUCATION
Lore fait partie d'un reseau social en education. Les professeurs peuvent l'utiliser pour interagir avec les etudiants. Mais Lore est egalement un reseau social pour les etudiants pour communiquer entre eux!
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