dimanche 31 janvier 2010

MEMOIRE LES HABITUDES DE VIE DES ETUDIANTS A RISQUE D'ECHEC


Plusieurs chercheurs se sont intéressés à la promotion de la santé. Notamment, en entreprise, la promotion d'activités pouvant amorcer un changement dans les habitudes de vie amenant un mieux-être chez les travailleurs est aujourd'hui très populaire. En effet, les dirigeants d'entreprises ont pris conscience qu'un employé en meilleures dispositions physiques devenait plus rentable pour l'industrie.

Dans le contexte de l'éducation où l'emphase est mise sur la réussite scolaire, il devenait intéressant d'aborder la problématique des habitudes de vie des étudiants. Nous nous sommes intéressés à cibler la clientèle plus à risque d'échec du Collège de Chicoutimi.

C'est à partir du paradigme naturaliste et compréhensif que nous avons abordé cette problématique. La collecte des données a débuté par un questionnaire qui nous donnait une vue d'ensemble des comportements des étudiants à risque d'échec. Puis, afin de comprendre en profondeur et d'explorer les habitudes de vie chez cette population, nous avons recueilli des récits de vie amenant une richesse inestimable de données. Nous avons ensuite soumis ces récits à un processus vertical et horizontal d'analyse de contenu. L'utilisation de la technique des récits de vie cumulés nous aura permis de dégager certaines tendances concernant les habitudes de vie des étudiants à risque d'échec.

À la lumière de l'analyse du questionnaire et des entrevues, nous pouvons dire que cette population étudiante du Collège de Chicoutimi a adopté des habitudes de vie plus ou moins saines visant à combler leurs besoins. Ces étudiants sont en grande partie sédentaires et ils s'alimentent mal. De plus, ils accusent une grande fatigue et des troubles du sommeil. Nous avons pu dégager des données concernant une multitude de raisons qui motivent leurs choix. Le fait qu'ils font très peu de liens entre leurs comportements délétères et leurs résultats scolaires n'est certainement pas étranger au choix qu'ils font afin de combler leurs besoins.

mercredi 27 janvier 2010

LA FORMATION EN LIGNE CONTINUE SA CROISSANCE AUX ETATS-UNIS


Plus de 4.6 millions d'etudiants de niveau collegial et universitaire ont completer un cours en ligne en 2008-2009. C'est une augmentation de 17% par rapport a l'annee 2007.

lundi 25 janvier 2010

ROBOT DE RECHERCHE


Voici un prototype de robot creer pour pour comprendre la communication gestuelle d'un enfant d'une annee. Il est evident qu'encore beaucoup de travail est a effectuer !

mardi 19 janvier 2010

ETAT DE L'APPRENTISSAGE VIRTUEL AU CANADA


LE CANADA EST EN EXCELLENTE POSITION POUR TIRER PROFIT DES TECHNOLOGIES D'APPRENTISSAGE

Le Canada comme d'autres pays membres de L'OCDE, reconnait depuis longtemps l'apprentissage tout au long de la vie pour le developpement social et economique. La periode de ralentissement economique mondiale qui a commencer en 2008 souligne le besoin de repenser les facons d'aider les Canadiens a acquerir les competences et les connaissances necessaires a la reussite a long terme.

Ce dossier de 147 pages va en profondeur.

samedi 16 janvier 2010

LE WEB SOCIAL INF 6107/ cours teluq


Chers pairs nouveaux, voici un cours qui n'est pas encore lancer, mais vous avez acces au contenu sur le web! Le contenu n'est pas encore complet, mais vous avez le loisir d'examiner ce cours, ca vous donne un enorme avantage a mon avis...

Chers étudiants, chères étudiantes,

Entre autres en raison de son adoption rapide et de son influence grandissante sur la circulation de l’information et des connaissances, le web social suscite actuellement un vif intérêt, tant au niveau des utilisateurs qu’à celui des innovateurs qui en développent l’infrastructure technologique.

Comprendre le web social, c’est aborder un champ de connaissance interdisciplinaire, au confluent de l’informatique, de l’architecture de l’information, de la sociologie et de la communication.

Le cours "INF 6107 - Le web social" est conçu de façon à vous permettre de vous approprier à la fois la maîtrise des outils (blogues, wikis, réseaux sociaux, etc.) et des pratiques associées au web social. Il vise en également à vous donner une emprise sur certaines notions des sciences sociales qui permettent de comprendre et d’interpréter les comportements des usagers du web social dans le contexte plus large de la société de l’information et du savoir.

Le cours comporte neuf modules (dont un préliminaire et facultatif) et cinq activités notées, lesquels demanderont au total environ 135 heures de travail. Il exigera de vous que vous travailliez de façon visible sur l’internet public et/ou dans des espaces partagés avec d’autres étudiants sur le web.

La totalité du cours est disponible sur ce site Web, sous le contrat Creative Commons Paternité 2.5. Ceci signifie que vous pouvez en réutiliser le contenu ailleurs, à la condition de citer le titre du cours et d’inclure un lien vers la page où vous avez emprunté du contenu.

Je vous souhaite un bon apprentissage !

Sébastien Paquet, professeur

vendredi 15 janvier 2010

La classe virtuelle synchrone maintenant disponible à tous les enseignants de l’Université Laval


L’Université Laval offre maintenant à tous les enseignants de la communauté universitaire la possibilité de bonifier leurs activités pédagogiques à distance grâce à la classe virtuelle synchrone. Cette technologie permet de recréer pratiquement toutes les caractéristiques d’une classe traditionnelle sans avoir à se déplacer autrement que via le Web. Les échanges entre le personnel enseignant et les étudiants qui participent à la classe virtuelle synchrone ont lieu sur une plateforme Web qui permet d’interagir de la même façon qu’en face à face.

Projet en expérimentation depuis un peu plus d’un an, la classe virtuelle synchrone dispose maintenant de 300 places, disponibles selon une multitude de configurations, et est offerte aux quelque 2 500 membres du personnel enseignant du campus. Dernière-née d’une série d’innovations en matière d’enseignement à distance, la salle de classe virtuelle synchrone permet de réunir dans de petits ou grands groupes, des étudiants et des enseignants qui veulent discuter, questionner, participer et partager toutes sortes de ressources : de la simple réplique d’un texte littéraire jusqu’aux plus performantes banques de données en ligne. La plateforme pédagogique permet aussi de faire des présentations de type Power point, d’écrire au tableau blanc et de transmettre du contenu audiovisuel. Là où la classe virtuelle innove au plan pédagogique, c’est par la vitesse d’interaction et par les nombreuses possibilités de collaboration qu’elle offre. En effet, les professeurs peuvent poser des questions à choix multiples aux étudiants et le résultat s’affiche immédiatement. Ils peuvent aussi proposer une période de travail d’équipe et la plateforme se subdivise en autant de sous-classes, le temps de mettre en commun le travail de chacun. Il sera ensuite facile de ramener tout le monde en grand groupe pour partager le fruit de ce travail. De plus, il est possible d’inviter des conférenciers de n’importe où sans se soucier des frais de déplacement. Tout se fait en temps réel, en direct, peu importe l’endroit dans le monde où on accède à Internet. Les cours sont aussi enregistrés et disponibles pour visionnement ultérieur.

Selon le directeur du Bureau des services pédagogiques de l’Université Laval, Nicolas Gagnon, « le service de classe virtuelle synchrone marque une étape importante dans le déploiement de l’environnement numérique d’apprentissage et, au plan pédagogique, permet de bonifier la formation à distance. Il multiplie les possibilités de collaboration, que ce soit pour les enseignants, les étudiants, les conférenciers et professeurs invités. » De son côté, le professeur Michael Power, spécialiste de la technologie éducative à la Faculté des sciences de l’éducation, mise sur la classe virtuelle synchrone pour élargir l’accessibilité aux études universitaires, surtout aux cycles supérieurs. « Fondamentalement, cette technologie offre la promesse d'une plus grande justice sociale. On peut maintenant ouvrir la formation universitaire à des étudiants qui ne pourraient jamais se déplacer jusqu’à nous, comme, par exemple dans les régions éloignées ou même à l’étranger. » Un des projets précurseurs de la classe virtuelle synchrone est le baccalauréat en informatique offert en collaboration avec l’Université virtuelle africaine, il y a quelques années.

Du côté des étudiants qui ont bénéficié de ce service, plusieurs en redemandent. L’Université Laval s’attend à augmenter sensiblement le nombre d’activités pédagogiques offertes par l’entremise de la classe virtuelle synchrone. De plus en plus d’enseignants sont formés pour mettre à profit cette innovation et plusieurs ont déjà réservé des places virtuelles pour un seul cours ou une session complète.

lundi 11 janvier 2010

STRATEGIE D'INTERVENTION DU GOUVERNEMENT DU QUEBEC POUR LES TRAVAILLEURS DE 45 ANS ET PLUS


Selon les plus récentes données démographiques, vers 2013, le Québec connaîtra une première baisse de sa population en âge de travailler.

Ce phénomène a pour cause un faible taux de natalité et des départs à la retraite massifs et plus hâtifs qu'auparavant. Le renouvellement de la main-d'œuvre posera donc à moyen terme des défis considérables. C'est pourquoi, Emploi-Québec met en ouvre une stratégie visant le maintien ou le retour en emploi de la main-d'œuvre âgée de 45 ans et plus.

dimanche 10 janvier 2010

L'EVOLUTION DE LA FORMATION DES ADULTES ENTRE 1997 ET 2002


Le rapport de recherche mesure l’évolution de la participation à la formation des adultes entre 1997 et 2002, telle que mesurée par l’Enquête sur l’éducation et la formation des adultes de Statistique Canada. La comparaison Québec-Canada permet de vérifier si l’écart déjà observé entre le Québec et le Canada persiste ou se résorbe et pour quels groupes de la population cela se produit.

jeudi 7 janvier 2010

Effectifs universitaires, 2007-2008


Un peu plus de 1 066 000 étudiants étaient inscrits dans les universités canadiennes durant l'année universitaire 2007-2008, en hausse de 0,6 % par rapport à l'année universitaire précédente. Ce taux de croissance est beaucoup plus faible que la hausse moyenne annuelle de 2,9 % observée depuis 1998-1999.

Les femmes représentaient 57,5 % des étudiants inscrits en 2007-2008. La proportion de femmes, légèrement inférieure à celle enregistrée au cours des dernières années, était semblable à celle notée en 2002-2003.

Les trois principaux domaines d'études représentaient la moitié de l'ensemble des effectifs en 2007-2008. Ces domaines d'études étaient les sciences sociales et du comportement, et le droit; le commerce, la gestion et l'administration publique; et les sciences humaines. Ces domaines d'études étaient en tête de liste depuis 1992-1993.

L'augmentation la plus prononcée (+3,5 %) a été observée dans le domaine de la santé, des parcs, de la récréation et du conditionnement physique.

Les effectifs ont diminué dans six domaines, soit dans le perfectionnement et l'initiation aux loisirs; dans les sciences humaines; dans les mathématiques, l'informatique et les sciences de l'information; dans les services personnels, de protection et de transport; dans la catégorie «autres»; et dans les arts visuels et d'interprétation, et la technologie des communications, ce dernier domaine ayant affiché le premier repli depuis 1996-1997.

Le déclin observé dans les mathématiques, l'informatique et les sciences de l'information suit la même tendance à long terme. Les inscriptions ont diminué de 4,6 % pour s'établir à 32 400, atteignant ainsi les niveaux affichés en 1994-1995. Ce domaine regroupait 3,0 % des effectifs totaux en 2007-2008, soit la proportion la plus faible inscrite depuis avant 1992-1993.

samedi 2 janvier 2010

Distances et Savoirs



Comment les établissements d’enseignement supérieur ou de formation
répondent-ils aux attentes des étudiants d’aujourd’hui, qui pour la majorité ont
grandi entourés de technologies numériques ? Telle pourrait être la question
directrice de ce numéro spécial de Distances et Savoirs pour lequel des intervenants
du colloque TICE 2008 – « L’apprenant et ses nouvelles attentes au coeur des
TICE »1 – ont bien voulu développer et apporter à nos lecteurs les précisions
nécessaires concernant les travaux qu’ils ont présentés en octobre 2008.

Une fois n’est pas coutume, nous commencerons l’éditorial par le premier
entretien de ce numéro. Francesc Pedró, coordonnateur principal du projet « New
Millennium Learners » (NML) mené par le Centre pour la Recherche et l’Innovation
en Education (CERI) de l’Organisation de Coopération et de Développement
Economiques (OCDE) a accepté de se prêter au jeu de nos questions réponses. Les
travaux qu’il mène dans le cadre de ce projet permettent de comprendre qui est cet
apprenant du nouveau millénaire, quelles sont ses pratiques quotidiennes des
technologies numériques et quelles sont ses attentes en matière d’usages
pédagogiques de ces technologies et envers ses enseignants.

Ainsi, cet entretien metil en exergue les enjeux et défis auxquels les universités doivent faire face aujourd’hui pour répondre à ces nouvelles expectatives, déjà nouveaux besoins ?

En s’appuyant sur certains articles et présentations du colloque TICE 2008, ce
numéro offre par ailleurs un aperçu très varié des questions de recherche et des
expériences que rencontrent ou mettent en place l’enseignement supérieur et la
formation professionnelle aujourd’hui.

La qualité des enseignements et des apprentissages

Ce premier groupement de textes illustre comment la recherche contribue à
améliorer l’enseignement et l’apprentissage en proposant des modèles ou des
solutions techniques pour accompagner les acteurs de la formation dans leurs
pratiques de ces nouvelles technologies, « nouvelles » puisque toujours plus
évolutives et malléables. Ainsi, Sandrine Descamps, Bruno De Lièvre et Christian
Depover s’interrogent sur la performance des apprenants au regard des scénarios
pédagogiques et d’encadrement proposés. Tandis que Pierre-André Caron et Renata
Varga traitent de la difficulté d’appropriation des dispositifs malléables relevant des technologies web 2.0 et proposent une approche modélisée pour aider l’utilisateur
final à utiliser ce type de technologies à des fins pédagogiques.

1. TICE 2008, organisé par l’Institut Télécom du 27 au 29 octobre 2008, dans les locaux de Télécom ParisTech http://tice2008.institut-telecom.fr/
2. Cet entretien est suivi d'une abondante bibliographie assemblée par Francesc Pedró.
138 D&S – 7/2009. TICE et distances

La baladodiffusion dans l’enseignement supérieur : enjeux et expérimentations
Autre technologie du web 2.0, la baladodiffusion fait son entrée dans les
pratiques pédagogiques de l’enseignement supérieur pour répondre aux enjeux de
l’institution ou aux besoins et attentes de ses acteurs.

Le deuxième groupement de textes présente donc trois expériences de
déploiement de la baladodiffusion dans l’enseignement supérieur. La richesse et
l’intérêt de ce groupement résident à la fois dans la diversité des enjeux, des
contextes et des moyens utilisés ainsi que dans la complémentarité des analyses que
chacun propose.

Dans le souci d’exploiter toutes ses potentialités pédagogiques, Gaëtan
Temperman et Bruno De Lièvre présentent une démarche de scénarisation destinée
aux enseignants de l’Université de Mons (Belgique) qui leur permet d’intégrer la
baladodiffusion dans les apprentissages.

Le retour d’expérience de Martin Richard, Thi Thu Ha Tran et Annie Jézégou,
vient illustrer cette démarche. Dans le contexte institutionnel de l’Ecole des Mines
de Nantes visant à la promotion de la pédagogie active, un groupe de neuf étudiants
s’est vu proposé un scénario d’apprentissage intégrant la baladodiffusion en
remplacement de certains cours.

Le troisième article se situe à une autre échelle. Sarah Lemarchand et Katia
Oliver présentent en effet l’expérimentation de l’usage de l’enregistrement et de la
baladodiffusion des cours mise en place par et au sein du réseau des grandes écoles
de ParisTech en 2007 dans une perspective de recrutement des étudiants à
l’international.

Les TICE et les apprenants à l’international

La question de l’international et de l’interculturel est au coeur de ce troisième
groupement de textes. Comment dans le contexte actuel de mobilité des étudiants à
l’international, les TIC constituent-elles un moyen privilégié pour préparer ceux-ci et leur permettre de mieux appréhender la culture et les habitudes du pays dans lequel ils vont étudier ?

L’intérêt des projets PADEN et EUROMOBIL réside dans la prise en
considération du besoin de ces étudiants et des difficultés qu’ils rencontrent lors de leurs études à l’étranger, chacun des dispositifs de formation étant centré sur
l’apprenant.

Le projet « Cross Cultural connections » repose quant à lui sur un dispositif de
formation visant à la pratique des langues anglaise et française et à une cocompréhension interculturelle des étudiants américains et français. Le dispositif
mobilise un ensemble de technologies synchrones afin de favoriser les échanges
entre les deux groupes d’élèves et une approche comparative des pratiques
culturelles.

L’innovation, relativité et applications

Ces deux derniers textes rappellent que l’innovation pédagogique ne va pas de
soi, quelles que soient les motivations qui ont conduit à faire le choix de l’utilisation des TIC ou d’un dispositif de formation à distance.

D’une part, l’étude de cas menée par Isabelle Cailleau et Manuel Majada décrit
un dispositif de formation ouverte et à distance modeste en termes d’innovation
technologique et d’innovation pédagogique (méthode expositive) mais en adéquation
au contexte et aux caractéristiques du public visé : des médecins généraliste du
Maghreb.

D’autre part, l’analyse développée par Bruno Poelhubert, Martine Chomienne et
Catherine Allen concernant la mise en réseau des Collèges d’enseignement général et
professionnel (Cégep), pour faire face au déficit d’inscription, montre comment la
télécollaboration s’est limitée aux « leaders » de chacun des projets alors que
l’expérience visait l’ensemble des enseignants des départements impliqués.

Alors que nous avons ouvert notre propos en présentant les travaux d’un expert
des apprenants du nouveau millénaire, nous terminons cet éditorial en évoquant
l’entretien avec Jacques Bahry, président du Forum Français de Formation Ouverte
et à Distance (FFFOD) et Directeur Général du Centre d’Etudes Supérieures
Industrielles (CESI). Expert de la formation des adultes, Jacques Bahry nous fait part de son expérience et des enjeux et défis que constituent les technologies éducatives et la formation à distance pour la formation professionnelle et des adultes.

Finalement, que nous soyons « digital natives » ou « digital immigrants »,
chercheurs, enseignants ou praticiens, ce numéro de Distances et Savoirs nous invite
à appréhender les technologies numériques dans leurs multiples potentialités sans en
ignorer les limites afin que nos réflexions et nos pratiques préparent et répondent aux enjeux et défis de l’enseignement supérieur et de la formation de demain.
CAROLINE RIZZA
Télécom ParisTech